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A PROPOS DE MOI

Je vous accompagne vers l’éveil de vos ressources intérieures afin que vous puissiez gagner en liberté, en autonomie et en confiance en soi.  

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Mon histoire

 

Que j’aurais aimé avoir cet appel plus tôt…

 

Cette bougie d’allumage qu’ont été le Reiki, le Shiatsu, le Yoga, la Respiration consciente le Focusing pour moi…  Ces approches, ces outils, ont été une révélation au point de vue personnel et professionnel.  Elles ont favorisé mon développement personnel et mon ouverture à ressentir afin de laisser émerger mon plein potentiel.  Elles m’ont également fait prendre conscience que derrière chaque malaise que je porte, il m’est possible de les transformer en une abondance de pépites d’or qui me permettent de vivre une vie épanouie et riche de sens.

 

Mais bon, comme je crois qu’il n’y a pas de hasard dans la vie, je sais maintenant que je devais passer par ce chemin pour prendre conscience de différentes choses et ainsi être rendue là où j’en suis aujourd’hui. 

 

J’ai découvert au cours des dernières années, et je continue de découvrir, que mon corps me donne accès à un merveilleux coffre à outils, mes sensations corporelles.

 

Ce coffre, est-il confortable à découvrir ?

Hum…

Oui et non !

C’est comme le Yin et le Yang.

Ce n’est ni tout à fait blanc, ni tout à fait noir !

Parfois, c’est désagréable (ça pique, ça bloque, c’est serré, etc.) et par moment c’est agréable (c’est doux comme de la ouate, ouvert et pétillant comme des bulles de champagne, etc.).

 

J’aurais aimé être à l’écoute de mon corps avant la dépression, les blessures et le surentraînement.  Vous savez, être à l’écoute des malaises (physiques, émotifs et mentaux) et du message derrière mes sensations corporelles?  J’aurais aimé les ressentir, les reconnaitre, les accueillir en douceur et ça, sans jugement pour leur permettre de se transformer…

He boboy que ce n’est pas le chemin que j’ai emprunté!

 

Les malaises que je portais ne sont pas arrivés sans crier gare, loin de là!  Ils ont été des symptômes à des causes plus profondes.  Des mal-être (peur d'être jugée, d'être rejetée, d’être abandonnée) qui étaient bien présentent dans ma vie.

 

Aujourd’hui, avec du recul, je suis consciente que les croyances limitantes (Je n'ai pas confiance en moi, Je ne suis pas "assez", Je n'ai pas de valeur, etc.) et les pensées négatives que j’entretenais envers moi-même n’ont fait qu’alimenter les mal-être que je portais et étaient un frein à mon bien-être.

 

La dépression m’a fait perdre tous mes repères. 

L’incapacité à ne plus ressentir certaines émotions par moment a été marquante pour moi.  Je me sentais vide.

La dépression a été une période de grande noirceur ou je me sentais seule dans mon monde, démunie et sans ressource.   

Les ressources, il y en avait, mais je ne les ai pas prises.

Pourquoi ? Parce que je me pensais forte, que j’étais capable d’en prendre et que j’étais pour m’en sortir toute seule.

Il n’était pas question que je paraisse faible...    

Les peurs, la tristesse, l’inquiétude et la culpabilité faisaient partie de mon pain quotidien.  Aujourd’hui, je suis capable d’identifier que je nourrissais mon côté victime et non responsable de ce que je vivais.  Je croyais que le temps était pour arranger les choses, mais ça été long et j’ai touché le fond.

 

Les blessures et le surentraînement sont venus en paire.  À la suite de la dépression et d’un surplus de poids présent pendant cette période, j’ai décidé qu’un mode de vie sain serait maintenant MON mode de vie.   La course, le triathlon, le dépassement de soi étaient au rendez-vous !  Je carburais au dépassement personnel.

 

J’ai goûté au fabuleux feeling de l’adrénaline dans chacune des cellules de mon corps et j’en voulais toujours plus.  D’année en année, j’augmentais les courses, les événements et les kilomètres avec plaisir, jusqu’au moment où la fatigue a fait son apparition sans que j’écoute les signes.  C’est à partir de là que mon corps a commencé à me jaser fort.  Les blessures étaient au rendez-vous, mais je ne les écoutais pas.  Il n’était pas question que j’arrête!  Entraineurs et thérapeutes m’ont proposé de diminuer la cadence, de prendre une pose, de revoir mes priorités, mes objectifs… Non, était ma réponse.

 

Sournoisement, les signes du surentraînement se sont pointés et je ne les ai pas écoutés.

À un moment donné, mon corps a dit STOP !  La fatigue générale, les douleurs physiques, les émotions dans le tapis et la perte de motivation étaient bien présentes.  J’avais encore été touché le fond… Ne pas avoir écouté mes limites, ne pas avoir été responsable dans mes choix, ne pas avoir écouté mes sensations physiques, mon manque de respect envers moi-même ont créé un passage qui a été long et déprimant.

 

Et l’histoire de ma pratique dans tout ça, me direz-vous?

Je crois que c’était tout tracé d’avance pour m’apprendre à mieux me connaître.

Ça été un appel qui s’est fait tout naturellement.

 

Je vous raconte comment s’est présentée à moi cette douce et bienveillante pratique.

C’est lors d’un événement Ironman auquel je prenais part (avant les blessures et le surentraînement) qu’une amie praticienne en Reiki m’a offert un soin afin de m’aider à me détendre.  OMG, j’en avais tellement de besoin!  J’étais tellement stressée et je me sentais comme un presto qui allait exploser. 

C’est CE soin qui a été ma première étincelle vers ma pratique. Ce soin d’une douceur et d’une telle bienveillance m’a permis de me déposer, de libérer mes tensions et de laisser aller toutes mes appréhensions.  Je me sentais tellement calme et détendue à l’intérieur de moi!  C’était comme si je venais de recevoir une grande vague d’amour.   Le bien-être que j’ai ressenti m’a fait prendre conscience que mes malaises non exprimés pouvaient avoir un effet néfaste sur mon équilibre, ma santé et mon bien-être. 

C’est en 2016 que j’ai ressenti l’appel de l’énergie et l’envie d’en savoir plus sur ce domaine qui m’intriguait.  J’ai alors décidé de suivre une formation en Reiki, avant tout pour mon développement personnel et avec l’intention de m’offrir de l’autothérapie.  J’ai découvert alors que j’avais des ressentis subtils.  Vous auriez dû voir ma face, c’était un gros

"OMG j’ai ça en moi, c’est capoté".  Les années qui ont suivi, j’ai continué mon exploration des soins énergétiques, toujours dans l’intention d’apprendre à mieux me connaître et à me développer davantage.

 

C’est en 2018 que mon chemin vers le bien-être a pris un autre tournant. Ma bougie d’allumage s’est faite lors d’un week-end de formation en initiation en Shiatsu. Pourquoi le Shiatsu?  Aucune idée! Je voulais découvrir une nouvelle approche d’origine japonaise.  L’aspect convivial de l’approche m’a interpelé parce qu’elle se déroule au sol, sur un futon et que j’adore ce contact, je me sens "groundée".   

 

Avant les échanges, l’enseignante a expliqué l’importance de donner ses limites, son STOP!  Eeeee, donner mes limites? Mon STOP?   Mon discourt interne était : "Tu peux y aller, je suis capable d’en prendre et j’aime ça une bonne pression…"   Le lendemain j’étais fatiguée, courbaturée, sans trop comprendre pourquoi.  Je me suis dit WOW, ça travaille fort le Shiatsu!

La journée suivante, j’étais épuisée. J’avais la sensation physique d’avoir couru un marathon.  Mon corps me fessait tellement mal, j’avais de la difficulté à marcher.  Ç’a été tellement désagréable comme sensation!  C’est à partir de ce moment que j’ai compris l’importance de respecter MES limites dans le contexte du soin, mais aussi bien au-delà…

La formation en Shiatsu a été pour moi le début d’un nouveau chapitre dans ma vie. J’ai appris à écouter avec douceur plusieurs malaises que je ne laissais pas s’exprimer.  Je me bloquais, je craignais que ça fasse mal. Mais dans le fond, le malaise est un ami qui vient nous informer que nous avons quelque chose à transformer pour notre bien-être.

Le Shiatsu m’a permis de laisser aller le contrôle afin d’apprendre à mieux me connaître, à avoir confiance en moi, à me choisir, à donner mes limites, à me respecter et à me responsabiliser.

 

Le déclic a été de prendre conscience que ressentir en écoutant ma sensation corporelle m’ouvrait une porte d’entrée vers mon propre pouvoir, celui de transformer ce qui bloque en une nouvelle possibilité.

 

Et si vous pouviez vous ouvrir à la possibilité que ressentir devienne la clé pour transformer ce qui est prêt à l’être?

 

Nous sommes responsables des choix et des décisions que nous prenons. 

Accepter le chemin que nous avons emprunté, sans nous juger, et se pardonner permet d’aller de l’avantApprendre à respecter ses limites, sans être obligé d’aller toucher le fond et attendre que le temps passe, c’est apprendre à être autonome et responsable de notre bien-être.  Respecter notre rythme d’évolution, nommer ses besoins tout en étant présent à soi-même permet d’être plus conscience et libre des choix que nous voulons pour nous-même dans la vie.

Ce que je comprends aujourd’hui c’est que je peux être PLUS et j’ai le droit à tout ça!

Le changement, c’est à nous de le créer et c’est MAINTENANT!

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Bienveillance / Écoute / Douceur

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@ Joanne Dubois ~Jo Shiatsu 2023

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